l’extrait original :
« Dans les bois, les feuilles secouées par un vent humide tombaient au pied des arbres (...).
Dans les sentiers semés de feuilles mortes, des flaques d’eau pareilles à des miroirs sombres où rien ne se reflétait, clapotaient sous nos sabots.(...)
Enfin, sur le coup de onze heures, nous vîmes sur la lisière de la forêt se dresser dans le ciel noir les toits pointus du château de l’Herm, et ma mère pressa le pas en contournant le coteau pour éviter le village. »
Extrait de Jacquou le croquant d’Eugène Roy.