Ecole d’Albert de Rions - Saint Auban sur l’Ouvèze

Les armes du Moyen Age

par Adèle et Adrien

Pour se battre chevaliers et paysans avaient différentes armes.

Les paysans avaient des fourches dont on arrondissait les bouts, des fléaux sur lequel on ajoutait des pics, des faux et des socs de charrue qu’on montait sur un grand bâton.

Les chevaliers avaient différentes épées :

• l’épée bâtarde se maniant à une main et demi puisqu’on cache le pommeau,

• l’épée à deux mains se maniant à deux mains,

• l’épée à trois mains, ou l’espadon, avec sa lame édentée, sa double garde, sa longueur et sa lourdeur.

Seul le bout d’une épée est tranchant, les trois quarts de la lame reste plat pour pouvoir tenir la lame à deux mains et frapper avec ou parer une attaque. Lors de combat on plantait la garde dans le corps de l’adversaire et on lui mettait le pommeau dans les dents.

Il y avait aussi des arcs et des arbalètes.

Après les modification voici les particularités des nouvelles ’’armes’’ :

Les fourches pouvaient attaquer de plusieurs côtés.

Les fléaux permettaient de passer par dessus les boucliers et de briser les os.

Les faucilles ou croissant de guerre permettaient d’attaquer à longue portée.

Les socs de charrues pouvaient tuer facilement.

Les arcs pouvaient tirer dix à onze flèches par minutes sur une grande distance.

Les arbalètes tiraient quatre à cinq flèches par minutes sur une petite distance mais avec puissance.

Les flèches des arcs avaient un espace où on pouvait mettre des boules pleines d’huile qu’on enflammait ou on y mettait des boules pleines de poison (if) qu’on tirait dans l’abreuvoir des chevaux qui en mourraient.